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Harkis

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Un film d'Alain Tasma (90', avec Leïla Bekthi et Smaïn, co-écrit par Dalila Kerchouche, produit par Image & Cie et diffusé sur France 2 et Arte en prime-time (2006).

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Prix Genève-Europa du meilleur scénario de fiction 2007, remis à Berlin.

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1972, le sud de la France, en pleine forêt, une famille aux maigres bagages découvre le nouveau camp où elle va vivre.

Malgré le paternalisme affiché du chef de camps, les harkis ont la vie dure et aucune liberté réelle. Une vie de misère et de tutelle que Leila, la fille aînée des Benamar, refuse. Elle a l’âge de la révolte, celles du premier amour aussi.

Pour elle, son père, marqué par la guerre et l’exil, habitué à plier, ne doit rien aux Français qui ne les ont pas protégés en Algérie...

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La presse en parle:

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LE MONDE:

Les Harkis sortent de l'ombre

"Ecrit par Dalila Kerchouche, auteure notamment de Mon père, ce harki (Seuil, 2004), et Arnaud Malherbe, ce téléfilm retrace avec réalisme et émotion le drame vécu par ces musulmans pro-Français engagés par l'armée française comme supplétifs durant la guerre d'Algérie (1954-1962), considérés comme des traîtres ou des collaborateurs dans leur pays et traités en France comme des parias.

Dalila Kerchouche, née en 1973 dans un de ces camps ghettos où furent parqués les harkis et leurs familles à leur arrivée en France, s'est inspirée de sa propre histoire et de celle de sa soeur pour raconter le combat de Leïla (Leïla Bekhti), une jeune fille de 17 ans, en rébellion contre le traitement inhumain et les humiliations endurés par ses parents. Ce récit, étoffé, a donné lieu à un livre, "Leïla, avoir 17 ans dans un camp de harkis" (Le Seuil), en librairie depuis le 5 octobre."

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LE NOUVEL OBSERVATEUR:

Harkis: Les sacrifiés de l'Histoire

"Deux soeurs. La plus jeune est Dalila Kerchouche, journaliste, écrivain (1) et coscénariste du téléfilm “Harkis”, diffusé ce soir sur Arte. Le regard plongé dans celui de son aînée, elle lui demande : “Est-ce que c’était juste ?” Le mot est à double sens pour Dalila Kerchouche, à l’origine de cette fiction, la première jamais consacrée à la tragédie des harkis.

Au lendemain de la guerre d’Algérie, ces supplétifs de l’armée française furent abandonnés par celle-ci et massacrés par le FLN. Ceux qui réussirent à fuir ont trouvé, en France, l’indifférence d’un pays pour d’encombrants survivants. Dans “juste”, il y a la justesse avec laquelle Dalila Kerchouche a voulu donner à voir une réalité presque inimaginable, celle des camps dans lesquels ont été parqués, en 1962, à leur arrivée dans l’Hexagone, plus de 90 000 hommes, femmes et enfants. Dans “juste”, il y a aussi ce leitmotiv qui est le sien depuis l’écriture de son livre publié au Seuil, “Mon père, ce harki”: “rendre justice” à ces êtres trahis et oubliés.

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LES ECHOS:

Harkis, voyage au bout de l'enfer

"Un beau téléfilm d'Alain Tasma, sobrement intitulé "Harkis". La scénariste Dalila Kerchouche, auteure en 2003 du livre choc « Mon père, ce harki », vendu à plus de 40.000 exemplaires, s'est bien sûr inspirée de sa propre histoire pour écrire « Harkis », sans manichéisme ni misérabilisme."

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LE PARISIEN:

Une fille de Harkis se rebelle

"Le scénario est signé de Dalila Kerchouche, née en 1973 dans un camp du Lot-et-Garonne, auteure en 2003 de « Mon père, ce harki » (Seuil). « Ni elle ni moi ne souhaitions faire un film sinistre », souligne Tasma, mais tous les deux avaient l'idée de « permettre à des gens de retrouver une dignité ». Sans faire dans l'autoflagellation, mais avec l'envie de percer l'un de ces « secrets honteux qui créent (comme dans les familles !), des générations après, des malaises effrayants ».

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TELE-LOISIRS:

"Un film douloureux, magnifiquement écrit et interprété, qui rend hommage à une communauté toujours en attente de reconnaissance."

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